Welcome to Vancouver

16/01/2019

Plus de 6 mois sans vous donner la moindre nouvelle, avec pourtant l’impression que c’était hier que j’écrivais mon dernier article…

Le temps file et continue de filer, s’en est presque effrayant par moment ! Heureusement l’actualité est bonne et les projets continuent de rythmer le quotidien.

Après 18 mois passés dans le Nord à profiter de la région, de sa chaleur humaine, de son patrimoine culturel matériel et « immatériel », nous avons quitté les Haut-de-France pour de nouveaux horizons. Mais avant tout grand changement, il était important de se ressourcer auprès des siens. C’est la raison pour laquelle nous sommes redescendus dans le Sud quelques semaines entre Novembre et jour de l’an pour voir nos familles une dernière fois.

Depuis dimanche, c’est à Vancouver, capitale de la Colombie-Britannique, que nous avons déposé nos valises. Ma compagne vient d’y démarrer un poste de chercheuse pour deux ans à l’Université Simon Fraser. Le voyage a connu son lot de péripéties. Mais heureusement pour nous, les quelques petites « frayeurs » ont été sans grosses conséquences.

De mon côté il est peu probable que j’exerce en tant que kiné ou ostéo : les démarches administratives pour obtenir une équivalence de diplôme sont beaucoup trop longues. Cela dit, plusieurs options restent possibles :

  • Éventuellement revenir à mes premiers amours, mais de l’autre côté de la barrière cette fois ! Je ne sais pas encore quelles seront les possibilités sur place mais l’idée d’entrainer et de coacher me plait. Ce sera un double challenge, car au-delà de l’aspect sportif il y aura également l’aspect linguistique. Bien que je ne parte pas de zéro en anglais, il sera bon de progresser pour éviter de leur servir une pantomime.
  • Trouver sinon un petit job. Découvrir un autre métier, quel qu’il soit.
  • Tout ça en continuant à passer du temps avec ma fille tant que possible.

Mais pour l’heure, il nous reste quelques démarches administratives à finaliser avant de penser à la suite.

Je profite d’ailleurs de l’occasion qui m’est faite pour vous souhaiter une bonne année 2019 ! Comme vous l’avez compris, je serai complètement absent des bassins cette année, mais reste joignable à tout moment !

Bien à vous.

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Dépasser ou Déplacer ! Alors, Limitless….ou pas ?

14/04/2018

Bonjour, je profite de la pause déjeuner à Cazaubon et de cette veille de finale pour vous écrire quelques lignes. Premier championnat de France à la maison pour moi depuis…2006 ! J’aurai aimé faire le déplacement mais j’avoue avoir assez vite abandonné l’idée quand j’ai vu le temps qu’il m’aurait été nécessaire pour venir de Valenciennes. C’est donc depuis mon ordinateur que je vais suivre les résultats. Il me manque forcément l’ambiance, l’atmosphère, les speeches du coach, les regards complices, les anecdotes d’anciens, les encouragements du public…mais être de l’autre côté a aussi du bon. Pas de pesée, pas de stress, on ne garde que le plaisir : celui de voir ramer, de voir de belles courses, de voir les rictus sur les visages et leur soulagement après la ligne d’arrivée, ce moment de plénitude dans l’effort quand on arrive à dépasser déplacer ses limites ! Voici d’ailleurs le lien du TEDx que j’ai fait à Lyon le mois dernier sur le sujet (dépasser vs déplacer ses limites). Il m’a semblé intéressant mettre en lumière cette nuance pour comprendre la différence qui existe et qui les sépare.

J’étais sur Marseille mardi dernier pour le même style d’intervention (TEDx KEDGE). Le thème : « Hors-Norme ». Le contenu était donc différent. Je mettrais la vidéo en ligne dès le lien sera disponible. Ce passage dans le Sud fut extrêmement rapide. Je n’ai pas pris le temps de visiter ou voir du monde. Le timing était trop serré, je me suis concentré sur la prestation qui motivait  mon déplacement.

Indépendamment de mon passage sur la capitale phocéenne cette semaine, l’actualité a encore été chargée le mois dernier.

Je suis allé sur Rome mi-Mars pour visiter. C’est tout l’avantage d’être à proximité de l’aéroport de Charleroi et d’avoir accès aux compagnies aériennes low-cost qui le desservent. C’est aussi l’avantage d’être jeune retraité. Beaucoup de questions ne se posent plus : savoir si l’hôtel est équipé d’une salle de fitness pour faire les séances imposées par le programme d’entrainement. Pas de procédure de géolocalisation pour respecter le protocole imposé et obligatoire en cas de contrôle anti-dopage inopiné. Pas de régime drastique à faire alors que la prochaine compétition et l’agenda l’auraient imposé si j’avais continué. Bref, de vraies vacances même s’il ne s’agissait que d’un week-end. J’ai visité le Colisée et le Vatican. Sûrement les deux monuments les plus emblématiques de la ville romaine. Le reste s’est fait à pied. La météo n’était pas celle qu’on attendait mais les prévisions furent meilleures que celles finalement annoncées. Malgré la période les rues débordaient de touristes. Je crois que j’ai de plus en plus de mal à fréquenter les lieux trop « bondés ».

La semaine d’après je suis descendu sur Paris pour intervenir à CentraleSupélec. C’est après avoir rencontré des étudiants de l’école en Décembre dernier lors de mon passage à Polytechnique sur le plateau de Saclay que l’invitation m’a été faite. Nous étions quatre intervenants à partager notre expérience, tous d’horizons différents ! Certains parcours de vie étaient vraiment impressionnants. Mais ce que je retiendrais de ce beau moment d’échange, c’est qu’indépendamment de leurs différences, ces histoires ont toujours la même morale : la réussite passe toujours par le travail.

La semaine qui suivi fut presque exclusivement dédiée à ma pratique professionnelle. Il est finalement rare en fait que je fasse semaine complète au cabinet avec toutes ces sollicitations.

C’est à Bruges, Gand et Knokke le Zoute que je suis allé pour le week-end de Pâques. Il n’existait pas meilleur destination pour acheter du chocolat je crois. La météo était « locale » mais ne nous a pas empêchés de visiter. Si je devais faire un choix entre ces trois-là, j’aurais une préférence pour Gand. Difficile d’expliquer pourquoi. Peut-être l’ai-je trouvé un peu plus agréable, un peu plus à taille humaine, un peu plus reposante que les autres. L’avantage de la Belgique, c’est qu’elle ne bénéficie pas que d’un joli patrimoine historique, les grandes brasseries donnent aussi la possibilité de gouter ce qui se fait de mieux en bière sur la terre.

La régate de Valenciennes était organisée le week-end dernier. Cette compétition annuelle sur 1000m rassemblait une bonne partie des clubs des Hauts de France. Ces quelques heures passées sur les berges de l’étang du Vignoble à voir les jeunes ramer furent les bienvenues. C’était l’alibi idéal pour sortir de l’appartement et ne pas rester prisonnier à faire ma comptabilité, autre « joie » de l’activité libérale de kiné.

Les dernières relectures de mon livre sont en cours. La sortie est prévue dans un mois. Je vous tiendrais rapidement informés de la date officielle de sortie.

Je conclurais en vous disant que j’ai passé plusieurs examens médicaux, pour m’assurer que ce départ à la retraite et que cette diminution d’activité n’avaient pas perturbé la mécanique bien huilée de ces dernières années. 6 mois après…Rien A Signaler. Les nouvelles sont bonnes. Les bilans aussi, le bonhomme est en pleine forme !

Bien à vous.


TEDx

02/03/2018

Crédit Photo : Fabien Deloche

Plus de deux mois et demi sans nouvelles. Je ne me serais jamais cru capable de vous « abandonner » aussi longtemps. Mais les faits sont là. Je vous rassure, il ne s’agissait pas d’un challenge personnel. L’agenda et l’actualité des dernières semaines m’ont enlevé toutes occasions de le faire.

Comme vous pouvez l’imaginer, beaucoup de choses se sont passées depuis mon dernier article.

J’ai commencé à travailler fin Novembre dans un cabinet de kiné sur Valenciennes. J’avais déjà fait un remplacement là-bas au mois de Mai. Le contact était bien passé, mon profil les intéressait et il cherchait quelqu’un pour la rentrée. De l’appartement je mets cinq minutes en vélo pour y aller. Un luxe que j’apprécie un peu plus chaque jour. Sinon l’ambiance est super. La prise en charge s’adresse surtout à des sportifs. Ça change, même si j’aime personnellement voir de tout. Jusqu’à fin Décembre je ne travaillais que les après-midi. J’ai fait ce choix pour finir la réécriture de mon livre. Les bonnes nouvelles sont d’ailleurs au rendez-vous. Il devrait être disponible au mois de Mai. Le compte à rebours est donc lancé ! Je vous tiendrais au courant de son actualité et de l’avancée du projet.

Pour Noël je suis redescendu dix jours dans le Sud. Cela faisait des années que je n’étais pas resté aussi longtemps pour les fêtes de fin d’année. Même si je n’ai pas pu croiser tout le monde, le simple fait de prendre le temps de voir les gens permit de recharger les batteries.

Depuis Janvier j’ai attaqué mon activité de kiné à temps plein. Je démarre généralement à 8h30 le matin, et finis le soir vers 19h. Je me réserve systématiquement un créneau de 30 minutes pour faire du sport. Les journées restent donc bien remplies. Pas le temps de m’ennuyer. Surtout que d’autres sollicitations viennent se greffer par-dessus : en Janvier je suis intervenu devant les classes préparatoires du Collège Stanislas. Je suis aussi passé à Charléty début Février pour le championnat de France Indoor. J’ai également participé à l’Assemblée Générale de l’AS Mantaise…et c’est sans compter les week-ends. Il est rare que je reste le samedi et le dimanche sur Valenciennes, surtout depuis 2018. Dernièrement j’étais entre Prague, Paris, Londres, Nîmes et Lyon.

Je retourne d’ailleurs sur la capitale des Gaules demain pour intervenir à un « talk » TEDx. Une première pour moi. Je suis hyper excité à l’idée de partager ce moment, mais je ne vous cache pas que la pression monte.

Vous l’aurez compris, le moral est bon. Les prochaines semaines s’annoncent tout aussi chargées, mais comptez sur moi cette fois pour vous tenir informés.


Les frères Onfroy sauvent le bilan français

03/07/2017

Crédit Photo : FFA (Emmelieke Odul)

Forcément déçu, car perdre est une option mais jamais un objectif quand on fait du sport de haut niveau. Mais au-delà du résultat brut, je suis surtout frustré ! Frustré de ne pas avoir pu m’employer physiquement à 100%. Je mets toujours un point d’honneur à ce que ce soit le cas, mais il arrive parfois que certaines choses ne dépendent pas de nous. C’était peut être le cas aujourd’hui. Et ça me rend encore plus triste sachant que nous représentions la catégorie. J’aurais préféré être battu en m’écroulant sur la ligne d’arrivée, en n’ayant plus suffisamment de force pour regagner le ponton. Tant pis ! Nous sommes malgré tout restés combatifs jusqu’au bout dans ce match à mort par équipe…Pourtant, tout avait bien commencé : nous avions fait un bon départ et la direction ne nous avait pas causés de problème. Nous comptions alors une pointe d’avance jusqu’à ce que la machine néozélandaise se mette en route. A ce moment le ratio s’inversa et l’écart se creusa. Mais nous restions au contact, et je sentais que nous pouvions suffisamment nous exprimer pour les faire douter…Hélas, dans un duel sans balisage pour matérialiser le couloir de chacun, le chassé-croisé peut vite arriver. Les connaisseurs le savent, cela fait partie intégrante du jeu ici à Henley. Mais n’ayant jamais connu cette situation auparavant, je dois admettre que ce n’est pas exactement la finale à laquelle je m’attendais. Enfin bon, tout cela appartient désormais au passé. Nous avons déjà les yeux rivés sur Lucerne. Départ ce midi en avion, un vol direct Londres-Zurich, pour finir ensuite avec le Bus jusqu’à l’hôtel. Nous allons courir ce matin pour garder la possibilité de refaire une petite séance ce soir, si le cœur nous en dit.

Je conclurai avec la superbe performance de notre paire française. En remportant cette édition, Théophile et Valentin Onfroy auront décidément montré qu’ils étaient les plus forts en « deux sans barreur ». Chapeau bas messieurs, je crois que vous garderez bien au chaud ce petit gobelet en souvenir !


David contre Goliath en Finale

02/07/2017

Crédit Photo : Anthony Benoit

Même si nous ne nous attendions pas à cette physionomie, la course d’hier était prédictive. Surtout après l’élimination du 2- italien face à nos rameurs français (les frères Onfroy). Car on peut déplacer des montagnes, mais il reste encore difficile de changer la nature humaine. Face au patriotisme avéré de nos amis transalpins, nous savions qu’ils combattraient jusqu’au bout, jusqu’à se sacrifier pour sauver l’honneur de leur délégation. C’était donc une course digne de finale qui nous attendait !

L’échauffement sur l’eau et la montée au départ furent tout aussi laborieux que la veille, voire pire ! La circulation était si forte qu’il était impossible d’enchainer les coups. Mais tout le monde semblait être à la peine, de quoi se rassurer quand la frustration gagne trop de terrain. Une fois dans les starting-blocks l’attente ne fut pas trop longue. Ce fut néanmoins l’occasion de se redire les choses avec Pierre. N’ayant aucun repère visuel fiable pendant la course, il était prévu que je lui annonce chaque 500m (grâce à mon GPS). Quant à lui, s’il sentait une opportunité, qu’il n’hésite pas à place une série, quel que soit notre position et notre avancée sur le parcours. Enfin, il faudrait gérer au mieux la direction et la vague de fond. La course risquait d’être longue, il était donc important d’aborder cette demi-finale comme un 2000m traditionnel.

Dès que le drapeau s’abaissa, nos bateaux s’élancèrent dans l’arène sensiblement à la même vitesse. Après 200m, une légère avance sembla apparaitre en leur faveur. Un peu plus collé contre la berge, ils semblaient plus abrités du courant et des vagues. Il fallut donc attendre, rester au contact, ne surtout pas leur laisser d’occasion, ne rien concéder, jouer les chasseurs ! Chaque coup de pelles semblait nous faire gagner de précieux centimètres. A côté ils ne cessaient de relancer pour éviter de subir le rythme que nous leur imposions. Alors que je m’apprêtais à communiquer à Pierre notre passage de la mi-course, il lança une série ! Pas le temps de réfléchir, il fallait foncer. Et en l’espace de 10 coups nous venions de prendre l’ascendant. Cette petite longueur d’avance nous suivit jusqu’à l’entrée des derniers 500m. A cet instant nous pouvions définitivement tuer la course. Le bateau regagna encore de la vitesse, l’écart continua de se creuser…mais je crois que dans mon subconscient j’avais définitivement calibré mon effort pour 2000m et non 550 yards. Les 112 derniers mètres me parurent excessivement long, allant même jusqu’à réduire l’écart entre nos deux embarcations. Le bruit de la corne arriva comme une délivrance, je n’en pouvais plus. Il me fallut une bonne et longue récupération pour éliminer chaque lactate de mon organisme…mais l’essentiel était assuré : nous venions de nous qualifier pour la grande finale.

Dans l’autre manche ce sont logiquement les poids lourds néozélandais qui se sont imposés. Ce seront donc nos adversaires du jour. Un match encore particulier ou David affrontera Goliath. Le duel risque d’être encore plus relevé qu’hier, mais en tant qu’ambassadeur de la catégorie poids léger, nous aurons à cœur de donner le meilleur, quel qu’en soit l’issue !

Je vous donne donc rendez-vous cette après-midi à 16h10 pour le dénouement final !

Voici également le lien pour suivre le Direct ainsi que celui de la course d’hier pour ceux qui l’ont raté !


Régates Royales d’Henley 2017

01/07/2017

Crédit Photo : FFA (Emmelieke Odul)

Quand une chose continue d’exister au-delà des siècles, c’est qu’elle a acquis une forme d’immortalité. Les Régates Royales d’Henley semblent en faire partie. Créées pour la première fois en 1839, elles ont su résister au temps ! Les bateaux bois sont remplacés par les bateaux carbones, le parking compte moins de voitures d’exceptions, mais pour le reste rien n’a changé : le format de course est toujours de 550 yards (2112m), il n’existe pas de catégorie de poids (poids légers et poids lourds sont mélangés), l’opposition se fait encore sous forme de duel (où seul le vainqueur continue l’aventure), les deux embarcations partagent le même champ de course (aucune ligne de bouée n’est matérialisée pour délimiter le couloir de chacun), le public profite du spectacle depuis la berge ou depuis les bateaux de plaisance…Enfin, il est impératif de respecter le « Dress Code » pour accéder aux tribunes : costard-cravate pour les hommes, chapeau et robe pour les femmes.

Je n’ai participé qu’une seule fois à cette compétition, c’était en 2014 avec Stany. Nous avions remporté la finale devant le bateau britannique. Faisant suite à notre 4ème place de Londres, cette victoire garde encore aujourd’hui un goût particulier : car nous avions battu un bateau poids lourds, anglais, dont les deux rameurs appartenaient au Leander Club (club local : le plus important d’Angleterre), qui plus est, à la photofinish. Bref, cet exploit d’un jour nous valut d’être nommé par la presse « plus belle course de la journée », et de voir nos noms gravés à jamais sur le trophée du DOUBLE SCULLS CHALLENGE CUP.

Malgré l’énorme volonté des organisateurs de conserver la tradition de cette compétition, l’édition 2014 fut la dernière à échapper aux rediffusions. Car depuis trois ans maintenant, les courses peuvent être visionnées en direct sur internet. Pour autant, l’essence même des régates est conservée, de quoi rassurer les puristes.

Nous sommes arrivés là-bas mercredi soir. Autre spécificité : nous sommes logés chez l’habitant. La répartissions se fait par petits groupes ou par embarcation. Il s’agit généralement d’anciens rameurs, ou de spectateurs, mais pas que ! La ville restant à taille humaine, tous les déplacements se font à pied. Pour l’instant la foule reste modérée, mais cela risque de changer ce week-end.

L’affluence sur le bassin est telle qu’il est difficile de faire de l’aviron de qualité. Hélas, cela fait aussi parti du folklore. En tant que membres de l’Equipe de France nous avons attaqué la compétition hier sur les quarts de finale. Nous sommes tombés contre un double anglais : deux jeunes rameurs poids légers champions du monde U23 l’an dernier. De très bons clients pour entamer cette compétition. La bagarre fut âpre les 800 premiers mètres, avant qu’ils ne cèdent et nous offrent la victoire. Dans deux autres manches, les rameurs poids légers eurent raison de leurs homologues poids lourds (Italiens et Allemands). Nous tombons donc cette après-midi en demi-finale contre le bateau transalpins, le même qu’au dernier championnat d’Europe de Racice. Le combat risque d’être encore plus relevé. Surtout dans une configuration pareille, où il n’y a pas de deuxième mais juste un vainqueur et un vaincu.

Rendez-vous donc aujourd’hui à 15h pour le duel. Voici le lien pour suivre en Live !